mardi 22 janvier 2008

Asthme | L'asthme : troisième partie

 
Par Mario Chaput, n.d.
Publi-reportage

L'asthme est un problème pulmonaire affectant environ 3 % de la population. Caractérisé par des attaques de respiration courte et sifflante à l'expiration, l'asthme provoque également une production de mucus épais, une pression de suffocation...Le diagnostic médical initial demeure essentiel et les traitements proposés (bronchodilatateurs, anti-inflammatoires) utiles. Le suivi naturopathique de deuxième intention vise à personnaliser les mesures parallèles les plus adaptées à votre retour vers la santé.

Pour certains asthmatiques, les infections à répétitions contribuent à entretenir les crises. Pour ces types d'asthme associés à des infections telles que la bronchite ou la sinusite chroniques, les recommandations naturopathiques devront s'adresser au foyer d'infection qui provoque un cercle vicieux. Une infection peut en effet provoquer une inflammation (crise d'asthme) qui, elle-même, prédispose sa victime à une autre infection. C'est ce que les docteurs Douart, Dupouy ont baptisé « le terrain asthmatique surinfecté ».

Les sucres à index glycémiques élevés (miel, sucre, mélasse, sirop, farines raffinées...) devront être éliminés afin de permettre un meilleur contrôle des foyers d'infection associés au problème. La prise conjointe d'extrait de thymus (Thymus Forte) permet de « moduler » le système immunitaire et donc de rehausser la résistance à l'Infection sans provoquer de crises asthmatiques. Le thymus (Thy­mus Forte) permet en effet de rétablir l'équilibre des lymphocytes « helper » (résistance à l'infection) et « suppressor » (essentiels au contrôlé de l'inflammation) Les doses de Thymus Forte qui seront prises en fin de journée doivent être modulées selon l'âge et l'état de la victime. Mes six années d'observation de même que les travaux des docteurs Lee, Murray corroborent ces informations.

Les extraits de thymus (Thymus Forte) permettent donc à la fois de réduire l'inflammation qui caractérise l'asthme et de réduire les fréquences des surinfections (bronchites, etc.) qui viennent compliquer l'asthme de certains malades. Les femmes enceintes ou allaitantes, les enfants et les personnes consommant des médicaments se doivent de consulter un(e) naturopathe membre de L'ADNQ (quatre années de formation) avant d'entreprendre un traitement naturel. Il en va de même pour les personnes victimes de problèmes de santé autres que celui traité dans cet article.

Mario Chaput ND.A. – InfoNaturel.ca
Le 17 octobre 2007

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