mardi 10 novembre 2009

Devrais-je me faire vacciner ?

H1N1

La vaccination est un sujet qui suscite beaucoup de controverse, particulièrement cette année avec la fameuse grippe AH1N1. Le film « Silence, on vaccine », est maintenant disponible gratuitement sur internet et vous pouvez le visionner en cliquant sur le lien suivant. http://video.google.com/videoplay?docid=8503852033482537965

C’est un documentaire de 55 minutes qui expose des faits et des réflexions, sans jugement, et qui laisse à chacun la liberté de faire sa propre opinion et de choisir ce qui lui convient. Les vaccins qui vous seront éventuellement proposés doivent toujours être accompagnés d’une réflexion au préalable et c’est de votre responsabilité de vous renseigner sur ce sujet. Je vous recommande donc fortement de visionner cette vidéo.

Des statistiques

Il n’y a pas pire prisonnier aujourd’hui que celui dont les pensées, les yeux et les paroles se laissent mouler par les médias. Ces derniers présentent ce qu’ils veulent pour atteindre leur but (côte d’écoute, controverse, peur, …).

Il est donc important de baser votre réflexion sur des faits. La Vérité est qu’il n’y a pas de pandémie. Il a plus de gens qui meurent chaque année de la grippe ordinaire que de cette fameuse grippe AH1N1. D’ailleurs, le syndicat des infirmiers du Québec est contre cette campagne de vaccination. La moitié des médecins ne se feront pas vacciner. Je ne me ferai pas vacciner comme intervenant en première ligne. Alors, pourquoi créer une telle peur mondiale ? Ce sont uniquement des raisons financières qui ont poussé certaines compagnies pharmaceutiques à engendrer un climat de peur pour inciter les gens à ce faire vacciner. N’oubliez jamais que la pharmaceutique est une industrie qui génère des milliards de profit chaque année. Il y a donc un vent de désapprobation massif qui s’est levé quant à ce vaccin, d’autant plus qu’il n’a même pas été testé sur des humains. Cela mérite une réflexion.

Un peu d’histoire

Dans les années 1940, la médecine a été transformée par l’arrivée des antibiotiques et des vaccins. Pour la première fois de l’histoire médicale, des maladies mortelles et des épidémies ont pu être vaincues par de simples médicaments. L’efficacité de ces nouveaux médicaments était tellement impressionnante que tout ce qui avait été essentiel à la médecine depuis le début des temps avait été remis en question. La relation entre le soignant et le malade, la nutrition, le rôle des émotions, l’attitude du patient, etc. furent rapidement remplacés, car le patient allait dorénavant guérir pourvu qu’il prenne sa médication.

C’est de ce fantastique succès qu’est née en Amérique du Nord une nouvelle façon de pratiquer la médecine: une approche expéditive qui ne prend plus en compte les antécédents émotionnels du patient, son alimentation, sa capacité d’auto-guérison naturelle et son contexte social.

Cette approche purement mécanique de la maladie et de la douleur s’est généralisée à toute la médecine. Aujourd’hui, presque tout l’enseignement médical consiste à apprendre à diagnostiquer une maladie spécifique selon les symptômes perçus et à traiter ces symptômes à l’aide d’une médication adéquate.

Mouvement de controverse

Les vaccins ont considérablement fait leurs preuves en matière de prévention depuis les dernières dizaines d’années en épargnant certaines maladies graves à la population. Certaines maladies mortelles ont presque complètement disparu de la planète. Cependant, plusieurs parents ont rapporté des changements majeurs à la suite de la vaccination de leurs enfants, tels que l’autisme, le guillain-barré, la sclérose en plaques, et des troubles importants du système nerveux.

C’est à partir de ces cas rapportés qu’est né un mouvement de controverse, puisque la règle de base en médecine est avant tout de ne pas nuire. Quels sont les dangers potentiels ainsi que les bénéfices de la vaccination versus les effets secondaires qu’elle peut engendrer? Plusieurs groupes d’individu ont tenté de s’en informer auprès des compagnies pharmaceutiques, sans succès.

Des études scientifiques subventionnées

Le pouvoir des compagnies pharmaceutiques est tellement grand qu’elles ont une emprise totale sur le système de santé. En effet, aucune étude gouvernementale n’est menée parallèlement aux études effectuées par les compagnies pharmaceutiques, de sorte que celles-ci peuvent publier ce qu’elles veulent. Cela rend la vaccination encore plus controversée, car il est difficile d’avoir l’heure juste sur la fiabilité des recherches.

Par exemple, une étude effectuée par des chercheurs américains en 1992 déconseille aux parents de dormir dans le même lit que leur bébé pour prévenir la mort subite du nourrisson. Les médecins qui reçoivent ces études n’ont d’autres choix que de conseiller leurs patients en ce sens. Ce qu’on ne dit pas, c’est que lesdits chercheurs étaient subventionnés par les grosses compagnies de berceaux et de lits de bébés aux États-Unis. Il est donc légitime de se poser les questions suivantes : l’étude est-elle réellement scientifique? Comment en valider la motivation, l’intention et l’intégrité?

Aux États-Unis

Le sénat américain, qui prend les décisions politiques et économiques du pays, est composé en grande partie de membres directement reliés aux compagnies pharmaceutiques. Dans certains États, comme le Maryland, la vaccination est obligatoire, à défaut de faire de la prison si quelqu’un s’y oppose.

Par ailleurs, plusieurs questions demeurent sans réponse lorsque les dirigeants pharmaceutiques sont interrogés, ce qui suscite évidemment des inquiétudes. On a rapporté une hausse importante des maladies et des cancers depuis les dernières années et les études associent beaucoup cette hausse à une mauvaise alimentation ainsi qu’à la cigarette.

Cependant, il est intrigant de constater qu’aucune étude n’est menée afin de vérifier s’il n’y aurait pas une corrélation entre cette augmentation des maladies et celle incontestée des vaccins et des médicaments prescrits chaque année. Qui aurait intérêt à faire une étude allant à l’encontre des milliards de profits potentiels?

Quoi qu’il en soit, les compagnies pharmaceutiques sont conscientes qu’il existe des risques quant à la vaccination, car des fonds d’indemnisation existent pour dédommager les enfants victimes d’effets secondaires qui y sont reliés. Cependant, elles se défendent en disant qu’il n’y a qu’une très faible proportion d’individus réagissant mal aux vaccins et soutiennent que c’est le prix à payer pour assurer l’immunité à l’ensemble de la population. Mais qu’arriverait-il si vous ou vos enfants deviez en payer le prix?

J’ai relevé plusieurs aberrations et contradictions de la médecine quant à la vaccination. Plusieurs médecins se ferment les yeux quant à ses effets secondaires potentiels. D’autre part, on recommande aux femmes enceintes d’éviter les sushis et les poissons crus, car ils contiennent du mercure pouvant être nocif pour le bébé, mais on n’hésite pas à prescrire des vaccins, dont certains contiennent du mercure et de l’aluminium comme agent de conservation.

Chaque effet secondaire vécu à la suite d’un vaccin doit être rapporté au médecin et ce dernier a le devoir d’informer la compagnie pharmaceutique pour compiler les statistiques. Cela n’est pourtant pas toujours fait.

Presque tous les pays européens ont fait vacciner leurs populations contre l’hépatite B il y a quelques années, alors que la seule façon de l’attraper est par le sang ou lors de relations sexuelles non protégées. Une personne qui n’est pas toxicomane et qui est stable dans ses relations sexuelles n’a pas d’indication de recevoir un tel vaccin.

Le système immunitaire

La médecine traditionnelle véhicule parfois de fausses informations sur les virus, bactéries, microbes, … dans le but de promouvoir la vente de médicaments. Comme l’a dit Louis Pasteur lui-même sur son lit de mort : « Les microbes ne sont rien, le terrain est tout ». Les microbes ne sont pas la cause principale des maladies. D’une part, parce qu’il existe de nombreuses maladies non microbiennes (infarctus du myocarde, diabète, asthme, cancer, anémie,

rachitisme, migraines, allergies, dépressions, troubles digestifs, rhumatisme, …) et d’autre part, parce que la possibilité pour les microbes de provoquer une maladie infectieuse est subordonnée à l’état bon ou mauvais des défenses organiques du corps. Donc, tout est dans le terrain, c’est-à-dire dans l’ensemble des liquides organiques du corps humain (sang, lymphe, …) qui irriguent le corps pour nourrir les cellules et les débarrasser de leurs déchets. C’est le terrain qui conditionne l’apparition des symptômes et non le contraire. Ce terrain sera fragilisé par une mauvaise alimentation, un taux de cholestérol trop élevé, une accumulation d’acide urique, les substances indésirables de tous les additifs alimentaires (colorants, agent de conservation, …), les produits de traitement de culture (herbicide, insecticide, …), les substances médicamenteuses donnés au bétail ( vaccins, hormones, antibiotiques, …), les médicaments que nous consommons et les vaccins, un mauvais équilibre émotionnel qui perturbe le système nerveux et prédispose l’individu à devenir malade. C’est pour cette raison que certains développent des maladies importantes suite à la vaccination alors que d’autres n’ont aucune réaction secondaire. Les médecins font toujours comme si la maladie attrapait les gens au lieu d’admettre que les gens attrapent une maladie quand ils deviennent sensibles aux microbes qui les menacent en permanence.

La vaccination doit-elle être maintenue ?

Dans cette optique, je suis d’avis que la vaccination en général a sa raison d’être et qu’elle se doit d’être maintenue, vu les bienfaits considérables, notamment contre certaines maladies graves. Cependant, leurs effets secondaires ne doivent pas être négligés et des recherches doivent être menées concernant les gens plus à risques.

J’estime non nécessaire d’offrir le fameux vaccin contre la grippe AH1N1 ainsi que de nouveaux vaccins contre les maladies mineures qui sont à mon avis nécessaires au développement du système immunitaire, telles que la grippe, la gastroentérite, ... La vaccination ne doit en aucun cas être une action imposée et faite sans réflexion préalable. Avant de vous faire vacciner, une feuille devrait toujours être remise au patient pour l’informer de la composition du vaccin ainsi que des précautions à prendre, des effets secondaires potentiels et des contre-indications.

La vaccination se doit d’être une décision éclairée, prise à la suite d’une discussion entre le patient et le médecin concernant les effets bénéfiques ainsi que les risques, car chaque personne est unique. Cette décision doit tenir compte des prédispositions génétiques de la personne, de son terrain et de la fragilité de son système neurologique.

Certaines personnes (entre autres, ceux qui ont une fragilité du système immunitaire, certains troubles neurologiques, des problèmes d’anxiété importants, …) sont beaucoup plus à risques que d’autres de développer des effets secondaires importants suite à la vaccination. De plus, il n’est pas conseillé de vous faire vacciner si vous êtes déjà malades ou si vous prenez des antibiotiques, car vous êtes déjà en train de combattre quelque chose. Il est préférable d’attendre que vous soyez en pleine forme.

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